ELFES – T23
Auteurs : PERU, BILEAU & JACQUEMOIRE
Éditeur : Soleil
Nombre de pages : 50
Catégories : BD & Fantasy
Prix : 14,95€
Pourquoi ce livre ?
Parce que j’ai rencontré l’auteur/illustrateur.
Parce que j’ai eu ma dédicace illustrée.
Pour continuer la saga.
Alyana a réveillé les géants qui parcouraient jadis les terres d’Arran. Ces fléaux, insaisissables malgré leur taille, détruisent tout sur leur passage. Alyana ne reculera devant rien pour les arrêter. Ses pouvoirs qui ne cessent de grandir la désignent comme la seule elfe capable d’un tel prodige.
Mais les autres elfes Blancs ne voient pas sa puissance comme une bénédiction. Au contraire, la jeune fille les effraie… Beaucoup la considèrent comme un monstre et sont prêts à se dresser contre elle.
J’ai bien aimé ce tome qui met en scène une héroïne surpuissante mais pour autant pas infaillible et encore moins aimée de tous.
L’histoire :
Celle d’une elfe monstrueusement puissante.
L’histoire de dangereux géants.
Une histoire de visions…
Les personnages :
Alyana est une elfes surpuissante. Dotée d’une paire d’ailes membraneuses, elle est la fille de deux puissants guerrier… mais aussi le fruit d’une volonté maléfique. Elle a la capacité de communiquer avec les animaux et de lire dans les pensées des elfes et des hommes. À la fois effrayante et convoitée, Alyana aura besoin de l’aide de ses compagnons car elle ne maîtrise pas encore complètement tous ses pouvoirs.
L’Aruspice est un être difficile à cerner. Il veut le pouvoir mais semble aussi animé dans sa quête par des visions qui le pousseraient à sauver le monde. Comme Alyana, il a la capacité de s’introduire dans les esprits, et plus précisément dans les rêves.
La Poisse est un Orkelin qui, autrefois, était sous la coupe de l’Aruspice. Aujourd’hui, il défend Alyana au côté de sa mère, comme si elle était sa fille à lui aussi.
La plume et le pinceau des auteurs :
Dans le dessin comme dans l’histoire, dans les parties récits comme dans les dialogues, les auteurs et illustrateurs nous font plonger dans un monde où tout n’est pas noir ou blanc.
Entre les couleurs sombres, bleues, et la présence de la forêt, on a du mal à croire que l’on est en présence d’un tome axé sur les elfes blancs. Cela peut être déroutant, mais montre aussi combien les cinq peuples elfiques sont liés dans cette saga.
Dans ce récit illustré, on ne trouve vraiment ni gentil, ni méchant. Tous les personnages sont en demi-teintes. D’ailleurs, si certaines planches sont féériques du fait des couleurs et des animaux, d’autres sont gores à cause du sang et des tripes.
Un tome assez sombre dans lequel les monstres se révèlent.
L’histoire : 3,5/5 Les personnages : 4/5 La plume et le pinceau : 4/5 Mon appréciation : 3,5/5
