Auteur : Julie Klassen
Éditeur : Milady Romance
Nombre de pages : 640
Catégorie : Romance
Prix Kindle : 5,99€
Pourquoi ce livre ?
Parce qu’il me fallait une romance historique pour le challenge mystère.
Parce que le résumé me faisait penser à Crimson Peak.
Parce que je ne voulais pas du premier tome d’une saga.
Parce que j’étais curieuse de savoir ce qui se cachait derrière l’appellation “romance gothique”.
Aussi romantique que Jane Austen, aussi sombre que Charlotte Brontë.
Jeune femme sensée, Abigail Foster s’inquiète pour l’avenir de sa famille depuis qu’elle est ruinée jusqu’à ce qu’un étrange notaire leur propose d’emménager dans un grand manoir, Pembrooke Park, abandonné depuis dix-huit ans. Son père et elle s’y rendent et sont accueillis par le charmant vicaire, William Chapman, qui leur apprend que, selon des rumeurs, une pièce secrète renfermerait un trésor… Aux prises entre de vieux amis et de nouveaux ennemis, Abigail ignore la nature des dangers auxquels elle devra faire face avant de lever le voile sur ces mystères et de trouver l’amour qu’elle recherche depuis toujours…
Les romances, ce n’est pas vraiment mon truc… j’ai donc eu un peu de mal à rentrer dans cette histoire. Sans compter que j’ai pas mal bougé pendant le mois d’août et n’ai pas eu le temps de lire régulièrement. Toutefois, chaque fois que je rouvrais le livre, c’était un peu comme si je l’avais quitté la veille seulement. Après des débuts difficiles, je suis pleinement rentrée dans l’histoire. Il y a eu, certes, des rebondissements auxquels je m’attendais, mais il y en a eu d’autres que j’avoue ne pas avoir vus venir. Et puis, il y a eu la fin… et je n’ai pas pu m’empêcher de verser mes petites larmes.
Non, définitivement, la romance, je n’aime pas ça… parce qu’en fait j’aime trop ça !
L’histoire :
Celle d’une famille bourgeoise de Londres qu’un mauvais placement a ruiné.
Son installation en campagne.
L’histoire d’un manoir plein de secrets.
Et, bien entendu, une histoire d’amour !
Les personnages :
Miss Abigail Foster, l’héroïne de cette romance, est une jeune femme qui voit son cœur brisé en découvrant que celui qu’elle aime fait la cour à sa sœur cadette. Toutefois, elle ne le comprend que trop bien : miss Louisa Foster est bien plus belle qu’elle, et également plus jeune. Pour laisser à sa sœur l’occasion de trouver un bon parti, elle et son père s’en vont pour Pembrooke Park, un manoir qu’elle va remettre sur pied d’une main de maître !
William Chapman, le pasteur de la petite bourgade dans laquelle se situe Pembrooke Park, est un jeune homme pieux. Après avoir été repoussé lui aussi par l’amour de sa vie, il semble pourtant serein, car confiant en son Seigneur. Il n’a de cesse, d’ailleurs, de rappeler ses paroles.
Mac Chapman, le père de William, est un homme méfiant. Quant à sa fille, Leah Chapman, elle est très timide et reste toujours en retrait.
Enfin, le dernier personnage que je citerai est Miles Pembrooke, un homme qui, comme son père avant lui, se lance à la recherche du trésor de Pembrooke Park. Pour cela, il ne semble reculer devant rien… tout comme son père avant lui.
La plume de l’auteur :
Un livre assez long pour une histoire qui prend son temps. Toutefois, la plume délicate de Julie Klassen finit par nous emporter avec elle dans ce récit. Rédigée au passé et à la troisième personne, cette romance retrace tous les sentiments qu’a pu ressentir une jeune femme à l’époque victorienne.
Le décor est bien placé, les personnages sont entiers avec des personnalités bien différentes, et l’ambiance est romanesque à souhait !
L’histoire : 3,5/5 Les personnages : 4/5 L’écriture : 4/5 Mon appréciation : 3,5/5
Total : 15/20
Une romance historique qui me fait de l'oeil depuis sa sortie… Merci pour cet avis!
je l'avais vraiment bien aimé 🙂
Mais de rien !! Alors, tu l'as lu depuis ?
Chose que je peux aisément comprendre 😉