Auteur : Alaya Dawn Johnson
Éditeur : Robert Laffont
Nombre de pages : 431
Catégories : Dystopie & YA
Prix : 19,90€
Pourquoi ce livre ?
Parce que la couverture m’appelait.
Parce que c’est un cadeau.
Sur la côte de ce qui l’on appelait jadis le Brésil, ce sont les femmes qui dirigent la légendaire ville-pyramide de Palmares Três. La Reine ne cède le pouvoir à un homme qu’une fois tous les cinq ans, à un Roi d’été dont l’histoire enfiévrera la cité l’espace d’une année.
Pour June Costa, la vie n’est qu’Art. Ses oeuvres impressionnent ses professeurs autant que ses camarades. Elle rêve de remporter le prestigieux Trophée de la Reine. Un rêve qu’elle n’avait jamais remis en question… jusqu’à ce qu’elle rencontre Enki.
Fraîchement élu Roi d’été, Enki est le garçon dont tout le monde parle. Mais lorsque June le regarde, elle voit bien au-delà de ses fascinants yeux d’ambre et de sa samba ravageuse : elle reconnaît en lui un artiste total. Follement amoureuse, June décide alors de créer avec lui un chef-d’oeuvre qui restera gravé à jamais dans les mémoires.
Mais leur temps est compté. Car, comme tous les Roi d’été qui l’on précédé, Enki va devoir être sacrifié.
J’ai lu ce livre sans vraiment l’apprécier… Mais on ne peut pas dire non plus que je n’ai pas aimé. Je l’ai lu, j’ai suivi l’histoire, et j’ai l’impression que c’est tout. Je n’ai pas ressenti grand-chose, mais je n’ai pas eu non plus envie de le délaisser sans en connaître l’issu.
L’histoire :
Celle d’un gouvernement de femmes.
Une histoire où la politique se mêle à l’art.
L’histoire d’un Roi éphémère…
Les personnages :
June Costa est une jeune fille, une waka lycéenne qui ne vit que pour l’art. L’art des rues, l’art de graffer n’importe où, et n’importe quoi, du moment que cela lui ressemble.
Gil est le meilleur ami de June. Il l’aide dans ses projets mais lui, son art, c’est la danse. Il bouge comme nul autre… sauf peut-être le Roi d’été.
Enki est un waka lui aussi, issu d’une famille pauvre, il est soudain élu Roi d’été. Mais Enki ne fait rien de ce qu’on attend de lui. Il est impulsif et aime l’art bien plus que de raison. Il va se lier d’amour et d’amitié aux deux autres personnages.
La plume de l’auteur :
Le récit d’Alaya Down Johnson se divise en quatre parties qui représentent les quatre saisons. C’est June qui narre cette histoire, au passé.
Dans ce roman, l’auteur mêle différentes cultures afin de créer une dystopie matriarcale. La politique, les complots et l’art semblent être les fils conducteurs de l’histoire.
Une dystopie qui prend place au Brésil, avec des coutumes qu’on n’a pas l’habitude de voir dans ce genre littéraire.
L’histoire : 2,5/5 Les personnages : 3/5 L’écriture : 2,5/5 Mon appréciation : 2/5
Total : 10/20