Bonjour !
À quelques jours de la publication de l’une de mes nouvelles dans un recueil sur la fin du monde, je souhaitais vous parler de mon second roman publié : Les ombres de Mainhattan. À l’image de ce que j’ai pu faire pour mon premier roman, j’aimerais aujourd’hui vous parler de la trame de cette histoire ainsi que de mes inspirations.
La trame
« Pour vivre heureux, vivons cachés »
Vous connaissez l’adage ? Eh bien c’est mon mantra ! Je me le répète et l’applique tous les jours. Pour cela, je reste le plus possible dans mon appart’ de Mainhattan, à siroter des bières, manger des wraps et, de temps à autre, à traduire quelques textes – entendez par là, quand je suis à sec !
En même temps, il est préférable de rester dans l’ombre quand on est une Fae de la Terre incapable de maîtriser ses dons…
Seulement voilà, on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Et celle-ci nous réserve bien des surprises ! Comme par exemple, trouver un bébé sur le seuil de son appartement, ou encore devoir se frotter à des Immortels…
Quelques mots clés qui pourraient faire office de « hashtags » :
ACCEPTATION – RACISME – CONFLITS – ENQUÊTE – URBAN FANTASY – HÉROÏNE BADASS – MÉTAMORPHE – GARGOUILLES – DÉMONS – FÉE – HYBRIDES – MYTHOLOGIE – HARD – ROCK – METAL
Les inspirations
Encore une fois, elles sont germaniques et mythologiques… mais pas que !
Tout d’abord, cette histoire prend place dans la ville de Mainhattan, qui n’est autre que Francfort sur le Main en Allemagne. Je n’invente rien ici : c’est vraiment le surnom de la ville car, de par sa Skyline et son fleuve, elle fait beaucoup penser à Manhattan.
Pour écrire ce roman, j’ai sillonné les rues de Francfort pendant une semaine entière. Je me suis ainsi imprégnée de l’atmosphère de cette ville. J’ai visité les lieux de l’intrigue, carnet à la main, afin de placer mon histoire et de m’inspirer de la ville elle-même.
Ensuite, le livre fait échos à ce qu’il s’est passé en Allemagne et en Europe au début du XXème siècle… entendez par-là l’antisémitisme et ce que cela a entraîné. Nous avons donc ici une nouvelle sorte de racisme, opposant les Humains et les Créatures de l’Ombre.
De même, je me suis également appuyée sur la mythologie pour écrire ce roman. En effet, je fais référence à des déités présentes dans de nombreuses croyances : les Nornes / Parques / Moires… En somme, ces femmes qui, au nombre de trois, tissent les destins.
Enfin, j’ai écrit ce roman à l’aide d’inspirations musicales afin de toujours mieux cerner l’ambiance que je voulais donner au récit. Comme on peut le deviner grâce aux mots clés donnés un peu plus haut, il s’agit d’une playlist tournée rock, hard-rock voire métal. Ceci aussi pour coller avec le tempérament badass de mon héroïne, typique du genre de l’urban fantasy. C’est d’ailleurs dans une saga bien connue de ce genre littéraire (Anita Blake pour ne pas la citer^^) que j’avais découvert les Faes, et c’est ce type-là (car il en existe beaucoup !) qui m’a inspirée pour mon personnage principal.
J’ajouterai également que ce roman est né suite à un AT que j’avais vu sur une maison d’éditions qui aujourd’hui n’existe plus et qui, alors, cherchait de l’urban fantasy et avait pour phrase d’accroche « pour vivre heureux, vivons cachés ».
Vous voilà maintenant informés quant à ma dernière publication romanesque… Je reviendrai (normalement) bientôt vous parler de cette nouvelle à paraître ! Mais en attendant, si cet article vous a convaincus, n’hésitez pas à vous procurer l’ouvrage sur le site de la maison d’édition dont je vous laisse le lien 😉
BON À SAVOIR : c’est de l’urban fantasy sans sexe malgré mes inspirations^^