L’Ombre de Jack


Auteur : Gaëlle Magnier
Éditeur : Gloriana
Nombre de pages de la nouvelle : ~ 47
Nombre de pages total : 180
Catégorie : Nouvelle
Prix : 0,00€
Pourquoi ce livre ?
Parce qu’il est court.
Parce qu’il était gratuit.
Parce que j’avais moi-même écrit sur Jack…
Parce que la couverture est simplement somptueuse !
**NOUVELLE GRATUITE**
À l’occasion de l’anniversaire de l’auteur, Gloriana vous propose cette très courte (vous serez prévenus) nouvelle au style particulièrement différent.
À la fin de l’ouvrage, retrouvez quelques extraits de nos romans, ainsi que LA DRAMATURGE, le roman de Gaëlle Magnier chez Gloriana Éditions.
J’ai bien aimé cette nouvelle (j’avoue avoir fait l’impasse sur les extraits étant donné que c’était les mêmes que ceux proposés dans Deux rois pour une reine). Comme l’indique la quatrième de couverture, le style est « différent », mais on s’y habitue sans mal et, en ce qui me concerne, je l’ai apprécié !
L’histoire :
Celle d’un orphelin devenu adulte.
L’histoire d’une ombre meurtrière.
Les personnages :
Le héros de cette nouvelle, dont je tairai le nom parce que dit très tardivement dans la nouvelle, est un jeune homme qui a été élevé par des nonnes. Ces dernières l’ont trouvé bébé aux portes du couvent et se sont occupées de lui. Mais maintenant qu’il a atteint un certain âge, il lui faut partir. C’est donc un homme qui a toujours vécu en dehors de la société.
La jeune femme, dont je tairai également le nom pour les mêmes raisons, est issue du peuple. Pauvre, elle accepte de venir en aide au jeune homme lorsqu’une nonne de sa famille lui demande. Elle est souriante et tombe rapidement sous le charme du héros.
La plume de l’auteur :
Dans un récit au présent et à la troisième personne, Gaëlle Magnier nous dépeint à merveille les deux parties de la société londonienne de 1888. D’un côté, les nantis à la recherche du paraître, de l’autre, les miséreux en quête de survie. Le faste et la pauvreté sont donc mis en parallèle dans cette courte nouvelle. De même que le Londres de la fin du XIXe siècle.
Par ailleurs, l’auteur utilise presque exclusivement des phrases très courtes et, surtout, prend bien soin de ne pas nommer ses personnages, de les appeler par l’un de leurs attributs. Si ça peut paraître étrange au début, cela crée rapidement une dynamique unique en son genre.
Une nouvelle très courte et différente de ce dont on a l’habitude.
L’histoire : 3,5/5     Les personnages : 3,5/5     L’écriture : 4/5     Mon appréciation : 4/5
Total : 15/20

Je vous invite à lire