Auteur : Sébastien Tissandier
Éditeur : Voy’el
Nombre de pages : ??
Catégorie : Nouvelle
Prix : 0,99€
Pourquoi ce livre ?
Parce que ça faisait partie des compensations de leur campagne ulule.
Parce que la couverture est très jolie.
Parce que j’avais besoin de quelque chose de court pour finir le mois.
Perdue dans la forêt, Céleste doit affronter ses plus redoutables frayeurs. Qui saura lui venir en aide ?
Malheureusement, je crois que je n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire. Mes yeux lisaient, mais je restait en surface. Toutefois, j’avais quand même un peu deviné la fin… et hélas, ce n’est pas le genre de fin qui me plait.
L’histoire :
Celle d’une petite fille perdue en forêt.
L’histoire d’un papillon de nuit.
Les personnages :
Céleste est une petite fille de dix ans. Depuis deux ans, à la suite de la disparition de sa mère, elle n’a plus que son père. Et, depuis deux ans, la fillette a peur du noir…
(Je ne vous parlerai que d’elle car je préfère laisser la surprise de « l’autre personnage »…)
La plume de l’auteur :
En quelques lignes, Sébastien Tissandier plante le décor. Une forêt, au crépuscule. Quant à son personnage principal, il distille les informations au fur et à mesure de la nouvelle, ce qui est plutôt agréable. Ainsi, le personnage fait partie de l’histoire, il y est ancré… il n’est pas seulement celui qui la vit (je ne sais pas si c’est très clair, désolée).
Cette courte nouvelle nous est contée au passé et à la troisième personne. Ce qui n’empêche pas l’auteur de s’attacher à transmettre l’effroi de la fillette.
Une nouvelle très courte qui a bien des atouts. Hélas, je suis visiblement passée à côté.
L’histoire : 3/5     Les personnages : 3,5/5     L’écriture : 3,5/5     Mon appréciation : 2/5
Total : 12/20

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