Éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 581
Catégories : Fantastique, Historique et SF
Prix : 22,90€
Pourquoi ce livre ?
Pour le menu air du #moisdelafantasy.
Parce que cela faisait longtemps que je n’avais pas lu Werber.
Parce que c’était un cadeau de Noël.
Depuis la nuit des temps, une prophétie annonce le destin de l’humanité. Elle révèle que notre avenir est lié à celui des abeilles. Les templiers l’ont préservée à travers les époques, mais sa trace s’est perdue. Pour la retrouver, il faut remonter le temps, traverser les continents et affronter tous les dangers.
Êtes-vous prêts à la découvrir ?
Bernard Werber nous entraîne dans un voyage fantastique où se mêlent l’Histoire, l’ésotérisme et l’aventure, à la recherche du secret disparu.
Je suis assez mitigée quant à cette lecture ! En effet, si j’ai dévoré le début, mon rythme a été freiné vers le milieu du roman. Il faut dire que lorsque j’avais lu la quatrième de couverture, j’avais confondu Templiers avec Francs-maçons… Et je ne m’attendais pas à trouver autant d’Histoire (même si c’était écrit sur la quatrième…) Enfin, je lui ai trouvé quelques défauts que je ne sais sans doute voir que depuis que je suis moi-même autrice 😉
L’histoire :
Celle d’une prophétie.
Une histoire de voyages dans le temps et de religions.
Les personnages :
René Toledano est professeur d’histoire, mais pas seulement. Avec sa compagne, il propose aux gens des méditations régressives permettant de communiquer avec leurs vies antérieures. Mais un jour, le show lui échappe et s’en suivent tout un tas de péripéties lors desquelles il partira à la recherche de La prophétie des abeilles.
Alexandre Langevin est également historien, et président de l’université de la Sorbonne. Avant de devenir son collègue, René a été son meilleur élève. À travers cette aventure, une amitié mais aussi une certaine rivalité va se tisser entre les deux protagonistes.
Salvin de Bienne est un des premiers Templiers et, selon la légende, l’homme à l’origine de La prophétie des abeilles.
La plume de l’auteur :
Dans un récit au présent et à la troisième personnes, Bernard Werber nous livre ici une aventure mêlant Histoire et fantastique, voyages dans le temps et mise en abîme de son propre roman. En effet, le livre dont il est question dans cette histoire porte le même nom que le roman… mais aussi la même couverture ! Sans parler du nombre de chapitres et de l’intérêt du tout dernier !!
Comme à son habitude, l’auteur intercale des chapitres qui semblent être issus d’une encyclopédie, ici MNEMOS, et qui sont de véritables cours d’histoire.
Si la mise en abîme du roman dans le roman est réussie, l’écriture n’est hélas pas toujours haletante. En revanche, ce roman est une belle source d’apprentissage.
Histoire : 3,5/5 Les personnages : 4/5 L’écriture : 3,5/5 Mon appréciation : 3/5
Total : 14/20