Auteur : Pierre Efratas
Éditeur : Noir d’Absinthe
Nombre de pages : 236
Catégories : Fantasy & Nouvelles
Prix : 17,90€
Pourquoi ce livre ?
Parce que je cherchais des noms pour mes lapins.
Parce que j’aime la mythologie nordique.
Parce qu’il m’a été dédicacé.
Au cœur de notre vaste univers se dresse un frêne gigantesque au tronc solide et aux branches vigoureuses sur lesquelles reposent neuf mondes. Son nom : Yggdrasil.
Amies, amis, prenez place ! En cette froide nuit d’hiver, Bjarni Olofsson, le scalde vagabond du Nord, a fait halte à notre porte pour nous conter l’histoire de ces mondes merveilleux où vivent de puissants dieux, de courageux mortels et d’étranges créatures.
Tremblez devant la colère de Thor ! Indignez-vous des fourberies de Loki ! Partagez la douleur de Freyja… Mais n’oubliez pas : côtoyer les dieux peut s’avérer dangereux.
Un peu moins de dix jours pour lire 236 pages… Panne de lecture ou écriture difficile ? Je dirais un peu des deux. En effet, en ce moment j’ai un peu de mal à lire (encore que cela s’arrange). Mais surtout, l’écriture de ces contes se veut ancienne et si cela cadre avec les récits, ça m’a un peu déranger de buter sur tant de mots qui m’étaient inconnus.
Quant aux histoires, elles se suivent et relatent de faits plus ou moins imbriqués les uns dans les autres. Toutefois, il est évident que certaines se démarquent !
Les histoires :
Celles des dieux bien sûr !
Mais aussi celles des humains.
Des histoires de géants.
Des histoires d’amour, de batailles et de trahisons.
La cohérence interne :
Toutes les histoires prenant place dans un même monde, suivant des personnages parfois identiques, on note une belle cohérence.
La plume de l’auteur :
Pierre Efratas se place ici dans la peau d’un scalde, autrement dit un conteur, et nous narre quelques-unes des épopées norroises. Le langage plutôt soutenu et la langue plutôt ancienne donnent à ces contes une certaine réalité. On a vraiment l’impression de lire de véritables extraits des contes d’autrefois. Malheureusement, cela va avec un vocabulaire parfois difficile d’accès, qui rend la lecture un peu ardue.
Des sagas comme si on y était. Un décalage entre le parler d’autrefois et celui d’aujourd’hui à la fois appréciable et regrettable.
Les histoires : 3/5 La cohérence : 4,5/5 L’écriture : 3,5/5 Mon appréciation : 2,5/5
Total : 13,5/20