Rebelle du désert – 2
Auteur : Alwyn Hamilton
Éditeur : PKJ.
Nombre de pages : 444
Catégories : Fantasy & Jeunesse
Prix : 18,99€
Pourquoi ce livre ?
Parce qu’il me fallait un PKJ. pour le challenge mystère.
Parce que le premier tome n’était pas mal.
Parce qu’il était dans ma #RLN2017.
Le destin du désert repose entre ses mains
Amani et Jin luttent désormais ensemble pour libérer le désert du Miraji. Retenue au cœur du palais du sultan, la guerrière est déterminée à découvrir les secrets du tyran sanguinaire. Mais ce qu’elle apprend ébranle toutes ses convictions… Le sultan est-il le véritable traître ? Et surtout, que cache la mystérieuse disparition de Jin ?
Cette fois-ci, pas vraiment de longueurs malgré un tome bien plus long que le premier et des descriptions mieux maîtrisées. Et, encore, une lecture très addictive et donc difficile à lâcher… Pourtant, ça partait assez mal car je me sentais “trahie” par la quatrième de couv’ ! De fait, je trouve qu’elle spoile beaucoup trop le roman.
L’histoire :
Celle d’une Rébellion qui prend de l’ampleur.
L’histoire d’une fille prisonnière d’un tyran.
Une histoire de famille…
Les personnages :
Amani, 17 ans, est une Demdji : la fille d’une humaine et d’un Djinn. Comme tous les Demdji, elle a hérité d’une partie du pouvoir de son père. Ainsi la jeune fille est-elle capable de contrôler le sable, ce qui n’est pas négligeable quand on vit dans le désert ! Alors que, dans le premier tome, la seule chose qui importait à Amani était la survie, peut importait le prix, elle se transforme ici en quelqu’un de plus altruiste, de plus mature.
Ahmed, le prince Rebelle, dirige la Rébellion. Avec l’aide de son frère Jin, de sa sœur Delila et de son amie Shazad, il espère un jour renverser son tyran de père. Contrairement au sultan qui est un homme froid, calculateur et sanguinaire, Ahmed est un homme bon qui ne cherche pas tant à ordonner qu’à inciter. Ce qu’il veut, c’est qu’on le suive parce qu’on le croit, pas pour la peur qu’il pourrait inspirer.
La plume de l’auteur :
Encore une fois, Alwyn Hamilton nous sert une histoire haletante et addictive. Chaque chapitre continent son lot d’action et on est souvent surpris par la tournure que prend l’histoire.
Quant au récit, il nous est conté au passé par Amani. Toutefois, les 50 chapitres ne sont pas à la première personne. En effet, le premier, le dix-neuvième, le trente-et-unième et le quarante-huitième sont autant d’intermèdes rédigés comme des petits contes.
Une lecture haletante et divertissante. Une tome deux meilleur que le premier !
L’histoire : 4/5 Les personnages : 4/5 L’écriture : 3,5/5 Mon appréciation : 4/5
Total : 15,5/20